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Le lever au petit matin, le petit déjeuner prit au coin de la rue et le départ en minibus jusqu'à My Tho, puis la piste jusqu'au fleuve. Les achats au marché, viande, poisson, légumes, eau en bouteilles capsulées . Puis on prend le bateau. Départ sur le fleuve, eaux chargées d'alluvions, de vie, voie de communication ; ici ce sont les bateaux qui transportent les hommes et les fruits de leur travail. Le long du fleuve une piste étroite comme la roue des vélos qui l'utilisent. Enfin on accoste, nous sommes arrivés. Nous posons les bagages, et dégustons aussitôt la noix de coco fraîchement cueillie sur l'arbre qui nous est offerte
La chaleur est lourde étouffante, même le chien est assommé par cette chaleur. Après la noix de coco, découverte du Coco d'eau. Sieste, visite chez les voisins, puis promenade dans les rizières, les images d'"Apocalypse Now" défilent dans la tête. Au retour arrêt au "café" du village pour boire le thé avec les anciens du village. Nous sommes les premiers Européens a revenir ici depuis 1954. Les Américains ont lâché leurs bombes avec ou sans défoliants, mais n'ont jamais osé ou pu venir dans ce fief vietcong.
Les trous de bombes sont encore là. Les crues du fleuve y piègent des poissons qui restent ainsi à disposition
Au petit matin, bateau pour rejoindre Can Tho, le ciel est voilé, lez fleuve se réveille. Au passage, on voit un chantier de construction de bateaux de pêche. À Can Tho, pas de Pousse-pousse, des "mobylettes" tirant une remorque avec deux places assises